De naissance je suis un homme, pendant mon enfance mes parents, ayant souhaité une fille, m’habillèrent, me coiffèrent comme une fille, jusqu’à mon entrée à la maternelle, je l’ai su grâce aux photos de l’époque.

Puis, tout sembla rentrer dans l’ordre des choses jusqu’à mon adolescence, vers l’âge de douze ans, je récupérais les catalogues que ma mère recevait et je découpais les modèles de robes, de sous vêtements qui me plaisaient. Et comme j’étais souvent seul à la maison, je furetais dans les placards de ma mère et lui empruntais des affaires pour les porter, premiers travestissements.

J’avais beaucoup plus d’amies filles que garçons, ma sensibilité me rapprochait d’elles et, de plus, elles appréciaient ma compagnie, un garçon qui acceptait de les suivre des après-midi durant, faire les boutiques et qui plus est donnait des avis appropriés, cela ne courrait pas les rues.

Arriva le moment du choix de l’orientation, l’obligation de quitter notre petite ville pour aller suivre ses cours à la faculté, le début de l’indépendance, l’emménagement dans une chambre d’étudiant.

Physiquement, j’étais plutôt mince, 1, 70 m pour 50 kg, les yeux bleus et des cheveux longs châtain arrivant aux épaules, souvent dans les magasins et dans la rue, on me prenait pour une fille, je passe sous silence les moqueries et railleries que je dus supporter de mes camarades masculins.

Là encore, en faculté je me retrouvai entouré de jeunes étudiantes.

Un jour, en traversant un marché, je me trouvai devant l’étal d’un marchand de lingerie qui proposait à des prix sacrifiés des ensembles de « grand-mères » à « très coquins ». Me voyant intéressé, il crut que je voulais faire un cadeau à ma petite amie et il me proposa une parure string soutien-gorge et nuisette à un prix défiant toute concurrence et tout à fait adapté à la bourse légère d’un étudiant.

Du fait d’avoir accompagné mes amies à faire les boutiques, j’étais au fait des différentes tailles et il me fut aisé de lui demander des articles pouvant m’aller. J’eus du mal à suivre les cours ce jour-là, il me tardait de rentrer dans l’intimité de ma chambre et de pouvoir essayer mes emplettes. Il m’est difficile de décrire les sensations d’excitation et de bien-être que j’ai pu éprouver ce soir-là.

Je recommençais à me travestir et j’y prenais énormément du plaisir, je me sentais bien. Au fil du temps, je peaufinais ma garde-robe, une de mes amies m’ayant fait découvrir deux magasins de fripes où je trouvais à petit prix mon bonheur, des jupes, chemisiers, robes et surtout les accessoires, sacs et chaussures.

Je me déplaçais avec deux grandes valises, une contenant mes effets masculins et l’autre ma garde robe – heureusement que mes parents n’étaient pas très présents car ils n’en ont jamais rien su –, et je naviguais entre le domicile familial et ma chambre toutes les semaines.

Basculement entre les deux genres :

Je continuais à accompagner mes copines dans leurs après-midi shopping et je notais bien ce qui m’intéressait et je revenais plus tard pour pouvoir l’acheter discrètement.

Un jour que je fouinais dans une friperie et que j’avais choisi plusieurs jupes et chemisiers, je ne me suis pas aperçu qu’une de mes amies, Nadia, était dans les cabines d’essayages et qu’elle s’était aperçue de mon manège, intriguée elle resta cachée jusqu’à mon départ.

Ce soir-là, je décidai de ne pas aller manger au restaurant universitaire pour pouvoir faire mes essayages, tranquille. J’étais habillé en femme et me regardais dans le miroir lorsqu’on frappa à ma porte, c’était Nadia. Lui signalant l’impossibilité de la recevoir, elle se fit insistante et me signala sa présence dans la friperie, quelques menaces de divulgation au groupe de garçons me firent fléchir et je lui ouvris ma porte.

Une discussion un peu animée au départ et, tout à coup, je m’effondrai en larmes, je pensais que tout basculait, que j’allais vivre l’horreur, l’humiliation, les railleries des autres. Nadia fut formidable, elle sut utiliser les bons mots, les bons gestes pour me calmer et me mettre en confiance, elle promit de garder le secret, en contrepartie, je devais devenir son petit ami vis-à-vis des autres. Étonné dans un premier temps, j’acceptai, et là elle aussi me confia son secret.

Elle n’aimait que les filles mais m’appréciait parce que je ne les draguais pas. Importunée constamment, si je devenais son petit ami, les garçons la laisseraient tranquille.

Nous sommes devenus inséparables et tantôt chez moi, tantôt chez elle, nous passions beaucoup de temps ensemble, nous nous entendions bien, avions beaucoup de choses en commun, les mêmes goûts.

Les vacances de Pâques arrivant, Nadia m’invita chez elle, mes parents, ravis que j’aie une copine, ne s’offusquèrent pas de ne pas me voir.

Nous voilà partis tous les deux dans ma voiture, cadeau d’anniversaire de mes parents. Dans le coffre, nos trois valises (celle de Nadia et les deux miennes), car il n’est pas prudent de laisser quoi que ce soit dans les chambres universitaires.

Une fois arrivés, Nadia m’apprit que nous serions seuls car ses parents étaient partis au ski, et que nous pouvions profiter de la maison. Elle m’installa dans la chambre d’amis et me proposa de prendre une douche.

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sortis de la salle de bain, Nadia avait ouvert ma valise et sorti mes vêtements féminins.

- Nous sommes seules ici, tu sais que je préfère les filles, tu vas passer ton séjour ici en fille.

Elle s’approcha de moi, retira ma serviette, je me trouvai nu devant elle, je rougis jusqu’aux racines de mes cheveux, me cachai pudiquement.

- T’es pas mal fichu, ça va être facile de te transformer en femme, mets ce que j’ai posé sur le lit et rejoins-moi dans ma chambre.

Sur le lit, je découvris un chemisier, une jupe, un ensemble soutien-gorge string, et mes chaussures. Une fois habillée, je la rejoignis dans sa chambre et la trouvai affairée à trier ses produits de maquillage.

- Assieds-toi devant la coiffeuse, je vais te maquiller.

En un rien de temps, je ne me reconnus plus dans le miroir, Nadia m’avait totalement transformée, je voyais le reflet d’une jeune fille, cela me troubla énormément.

- Nous pourrons même sortir après que je t’aurai appris à marcher et les manières féminines.

Je passai une semaine formidable, nous allâmes même faire les boutiques en ville, tout se passa bien.

- Nadia, je ne sais pas comment faire pour te remercier.

beaucoup

j'adoreeeeeeeeeeeeeee surtout sans poil.bisous

Salut,moi aussi celà me fait bander,même que suite à la même tenu,quand sans prévenir mon collègue est entré dans ma chambre d'hotel et m'a dit"tu aimes t'habiller en salope alors tu vas assumer"et pendant tout un week-end je suis resté sa pute soumise(et j'ai adoré)

moi j adore aussi et belle bite

Ah oui, j'aime ! Belle grosse queue. Elle me donne envie de passer le bout de mes doigts sur le nylon, puis mes lèvres, avant de rouler doucement ce collant sur tes hanches et de ...