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Par sigma76 - Publié dans : nouvelle version du blog - Communauté : La passion du travestissement
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Commentaires

Ce que j'aimerais être offerte ainsi à ces 2 nanas.

commentaire n° :1 posté par : Jeanne travestie le: 04/05/2012 à 16h14

Humm ça dois être trop bon

Bise

commentaire n° :2 posté par : Sarah travlope le: 04/05/2012 à 19h51

A force de me goder, mon plaisir anal s’est intensifié à tel point que je parviens à éjaculer sans même me masturber !

Je considère mon anus comme un vagin et mon zizi comme un clitoris !

commentaire n° :3 posté par : lailatvx le: 05/05/2012 à 05h04

j'adorerais me retrouver dans cette situation

commentaire n° :4 posté par : frenzele le: 05/05/2012 à 13h12

toujours de belle image que partage VALE par sa passion et sa pratique du travestisme. Humm ! Que cela doit être bon !

commentaire n° :5 posté par : valentine le: 05/05/2012 à 15h20

Oh oui : un de mes plus grand fantasme... Qui pour le réaliser avec moi ;)

commentaire n° :6 posté par : claudia23tv le: 07/05/2012 à 19h09

je mettrai bien la langue

commentaire n° :7 posté par : mary le: 20/05/2012 à 11h12

C'est un joli cliché, et l'assouvissement d'un fantasme récurrent : celui de se sentire femme, de se sentir envahie par un sexe d'homme, de tendre sa propre verge à la caresse d'un complice.

commentaire n° :8 posté par : Tristanne le: 24/06/2012 à 13h54

L'homosexualité au Maroc est frappée d’un double H : Hchouma (honte) et Haram (péché).

Il y a encore un an, Mohamed Asseban, membre du conseil des ouléma de Rabat-Salé déclarait à la presse : "Le bûcher pour les homos". À l’instar de sa religion et de sa loi, la société marocaine est incontestablement homophobe. Difficile dans ces conditions de changer le regard porté sur ceux que l’on préfère qualifier de "déviants sexuels", pour ne pas dire "anormaux". En effet, pour beaucoup, l’homosexualité est "contre-nature", puisqu’elle ne mène pas à la procréation, seul objectif assigné aux relations sexuelles. Or, le fait est que, de tout temps, l’homosexualité a perduré et s’est maintenue, y compris dans les pays arabo-musulmans. Non sans difficulté dès lors qu'il s'agit de vivre sa sexualité sereinement et d’affirmer son identité. Car il ne saurait être question ni de s’afficher, encore moins de revendiquer des "droits homosexuels". En terre chérifienne, être homosexuel c’est avant tout vivre caché. Pour ne pas être la risée de tous, pour ne pas être en prise aux qu’en dira-t-on, voire pour échapper aux casseurs de "pédés". Qu’est-ce qui dérange fondamentalement ? L’acte sexuel en lui-même ? Pas si sûr, quand on observe la distinction, culturellement très forte, qui s’opère entre "actif" et "passif". Il semble que ce qui dérange vraiment, ce sont les sentiments d’amour entre deux hommes. S’il est possible - sous réserve d’être très discrets - d’avoir des relations sexuelles, il est en revanche beaucoup plus rare de construire une histoire d’amour ou de se projeter dans l’avenir. À moins de faire le choix de partir.

Vivre son homosexualité

"À Paris, j'ai découvert d'autres horizons. J'ai pu sortir, vivre ma vie comme je l'entendais, tout simplement parce que ce n'est pas illégal"
"Vivons heureux, vivons cachés". Tel pourrait être l'adage des homosexuels marocains. À la nuance près que se cacher n'est pas un choix mais une obligation et qu'ils sont loin d'être heureux.

Par Laetitia Grotti

"J'ai trois visages : un pour mes parents, un pour mes amis et celui que me renvoie le miroir", raconte Hassan, jeune Casablancais de 20 ans. S'il reconnaît sans ambages devoir mener une double vie pour "être tranquille", Hassan a pourtant fait le choix d'assumer son homosexualité. L'assumer d'abord vis-à-vis de lui-même. Ce qui signifie passer outre la honte ou la culpabilité que renvoient sans cesse la famille et par extension la société. Or, ces sentiments sont profondément ancrés en chacun pour les avoir intériorisés tout au long des années d'enfance et d'adolescence. Pour Jamal, un trentenaire marrakchi, ce vécu est assurément le plus difficile, "Il faut avoir un caractère assez fort pour s'assumer en tant qu'homosexuel dans notre pays. Avoir des références. Malheureusement, aujourd'hui au Maroc, quand on a 15 ans et qu'on commence à se sentir plutôt attiré par les hommes, on est perdu. Il n'existe aucune référence, aucun modèle. Il n'y a pas de visibilité gay. On se sent isolé. Il y en a qui croient être les seuls. Dans ces conditions, il est difficile de s'accepter comme tel. On se dit alors qu'on est peut être bisexuel ou que c'est passager…".

Hassan a eu sa première relation sexuelle à 14 ans, avec un copain : "Je n'avais pas le sentiment de transgresser quoi que ce soit. Je le vivais plus comme une découverte du sexe, un jeu entre garçons. Sauf que ma mère nous a surpris. C'est la première à m'avoir dit ce que c'était, avant d'ajouter que c'était très mal et qu'il ne fallait plus jamais le refaire". Élevé dans une famille plutôt aisée, franchement homophobe, "surtout mon grand frère", son adolescence a été très dure, psychologiquement. Émaillée de mille tiraillements, questionnements entre sa nature profonde - aimer les hommes -, les pressions familiales et les normes imposées par la société. Quand il arrive à se procurer certains romans, interdits de circulation au Maroc, c'est en cachette qu'il les lit. Il ira même jusqu'à être plus homophobe que les autres au lycée pour "paraître" ce qu'il n'est pas. Pour "être" ce que paraissent tous les autres, à savoir "des gens normaux". Mais il n'est pas facile de tromper les autres sans se perdre un peu soi-même. Alors, parce qu'il ne supporte plus cette duperie permanente et qu'il a des amis sur lesquels compter, Hassan va oser franchir le pas et se confier. Entamant ainsi un long travail pédagogique sur lui-même et sur son homosexualité. Répéter, encore et toujours, qu'il n'est pas un déviant, qu'il est comme tout le monde, qu'il aspire aux mêmes rêves d'une vie de couple, d'un avenir serein. Certes, il trouvera bien quelques oreilles attentives, compréhensives et suffisamment ouvertes pour ne pas le juger et le rejeter. Mais c'est en France, à Paris, où il poursuit ses études que le déclic se produit : "J'ai découvert d'autres horizons. D'abord, il n'y a pas ce sentiment de peur que l'on vit ici, tout simplement parce que ce n'est pas illégal. J'ai pu sortir, vivre ma vie comme je l'entendais, lire les livres que je voulais sans avoir à les cacher… Mais l'élément déclencheur a été mon colocataire. C'était un Marocain, issu du système public. Le dialogue s'est instauré naturellement, nous avons parlé de mon homosexualité et, à ma grande surprise, il l'a acceptée sans problème. C'est alors que je me suis rendu compte que je pourrais la vivre au Maroc". Bel optimisme qui, porté par tous les espoirs de la jeunesse, le poussera à aller encore plus loin en faisant son coming out auprès de sa mère. Au début, il entendra les leitmotiv d'usage : "Tu es jeune, c'est passager", puis les menaces d'inspiration divine : "C'est péché, c'est contre-nature…". Ce n'est que lorsqu'il prononcera le mot "amour" que la sentence tombera sans appel : "Si tu t'assumes ici, c'est la rupture !". Depuis, désemparée par ce fils "déviant", cette pauvre femme cherche désespérément à le marier. Pour elle, une certitude : seule l'institution peut le ramener sur le droit chemin. Et de fait, Hassan dit ne pas se sentir prêt à renoncer à son statut social, du moins pas encore. Lié par une promesse faite à sa mère, il a rompu avec son petit ami, brûlé tous ses livres, bref, vécu une véritable "déchirure". Comme l'immense majorité des homosexuels de ce pays qui, sans avoir le courage de Hassan, préfèrent vivre cachés, à l'abri des apparences. Ceux rencontrés sont unanimes. Pour vivre son homosexualité au Maroc, LA condition sine qua non reste la discrétion, "sauf si on n'a pas peur d'être la risée de tout le monde, dans le quartier, à la fac ou au boulot", précise Jamal avant d'ajouter : "On fait ce qu'on veut, mais il ne faut pas donner de certitude aux gens car, malgré tout, dans leur esprit le doute persiste. Beaucoup de gays entretiennent ce doute pour avoir la paix". Combien d'entre eux mènent une double vie ? Le jour, les plus jeunes s'inventent des petites amies, des rendez-vous avec des filles, les plus

commentaire n° :9 posté par : lailatvx le: 01/09/2012 à 15h32

 

Les homosexuels du Maroc en ligne

Les homosexuels marocains se mettent en ligne

L’association Kifkif qui rassemble les homosexuels marocains a été créée en 2005. Basée à Madrid, elle milite en faveur des droits des homosexuels du Maroc.
L’association Kifkif (Egaux en arabe) est une association qui a vu le jour en 2004. L’association, basée à Madrid, est composée de lesbiennes, gays, transsexuels et bisexuels du Maroc. Elle se veut un groupement qui milite en faveur des droits de ces personnes. Les responsables de l’association affirment que leur mouvement est ouvert à l’adhésion de toute personne qui partage ses valeurs. Selon l’association, toute personne jouit de son droit naturel de disposer de son corps de la manière qui lui paraît convenable. Un droit qui demeure garanti par la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Dans l’acte constitutif de l’association, on mentionne que son champ d’action concerne aussi bien l’Espagne que le Maroc.
Kifkif a été créée dans des conditions particulières. Le 1er juin 2004, la police marocaine a arrêté dans la ville de Tétouan 43 personnes sous l’accusation de mener des activités homosexuelles. Cette date marque le début de cette association. En effet, des jeunes homosexuels marocains ont entamé sur Internet une campagne internationale pour leur libération. Pour coordonner ses actions, les lesbiennes, gays, transsexuels et bisexuels marocains ont créé un site Internet: [www.gaymaroc.net]. Le site se veut un forum pour aider les milliers de Marocains qui ne trouvent pas leur place dans la société. Le forum de discussion est animé par les contributions des divers intervenants. Militants de l’association, homosexuels ou de simples sympathisants font les milliers de visiteurs du site. Selon les statistiques fournies par le site Internet de l’association, le nombre de personnes ayant visité le site depuis le premier janvier 2009 s’élève à 28.058 visiteurs.
L’association kifkif a lancé également un magazine électronique intitulé «Mitli» (homosexuel en arabe) qui offre plusieurs informations à propos de l’homosexualité au Maroc. A travers leurs divers moyens, les responsables de l’association condamnent vigoureusement le rejet et l’expulsion dont les homosexuels font l’objet au Maroc.
A partir de 2006, les volontaires de Kifkif ont commencé une lutte pour leur légalisation comme association au Maroc, mais toutes leurs tentatives ont été rejetées.

http://www.gaymaroc.net/

commentaire n° :10 posté par : lailatvx le: 01/09/2012 à 15h35

je ne sais pas si le texte bleu sur 1 fond noir est bien lisible !

commentaire n° :11 posté par : lailatvx le: 01/09/2012 à 15h38

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